Remise du Prix du premier roman à "Lumière dhomme"
Mes premières impressions (28 fév 2001)
Je vous
livre mes premières impressions.
.... Et la 1ère photo !
Je suis entourée de Monsieur Lucien Michel, Président du club Rotary de Toulouse (à gauche) et de Monsieur Stéphane Janson, Président du Jury (à droite) (la barre noire en haut c'est un petit problème au scannage) La cérémonie a eu lieu le 22 février à 18h30 dans la superbe salle des Illustres du Capitole à Toulouse. Le représentant du maire a excusé M. Baudis (engagé au CSA désormais) et a prononcé un discours dans lequel il a marqué son admiration pour ceux qui non seulement écrivent mais livrent leurs écrits à l'appréciation d'autres personnes (...). M. Michel a remercié toutes les personnes qui ont oeuvré dans les coulisses pour l'organisation et la réussite de cette remise de prix, le comité de pré-sélection notamment. |
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M.
Janson a expliqué pourquoi le jury s'était prononcé _ à une très large majorité_
pour "Lumière d'homme".
J'étais derrière lui et l'émotion en rajoutant, je n'ai pas tout saisi ! Je cite
en vrac ce que j'ai retenu :
"remarquablement bien construit", "beaucoup de plaisir en le lisant",
"très grande profondeur", sa conclusion : "statistiquement, la grande
majorité des auteurs d'un premier roman en publient un deuxième, on attend le vôtre
avec impatience !"
J'ai répondu à tous ces discours en remerciant chaleureusement les uns et les autres pour ce prix qui est une reconnaissance de la qualité de mon roman, reconnaissance d'autant plus appréciée qu'aucun éditeur un peu important n'avait voulu le publier (merci Opéra !). J'ai ajouté que j'étais sensible à l'esprit de ce prix, manifestant l'intérêt du monde économique pour la littérature, ayant moi aussi un pied dans le monde économique de par ma profession de statisticienne. J'ai terminé en citant John Pierrakos et en remerciant l'assemblée de me permettre d'être dans cet état de recevoir pour le plaisir et le bonheur : ce n'est peut-être pas toujours le plus difficile mais en tout cas, on n'y est guère habitué !
"La plus grande épreuve que l'humanité doit surmonter n'est pas la douleur ni la plainte, mais notre incapacité à nous mettre et à nous tenir debout pour le plaisir et le bonheur.
Ouvrir son cur, recevoir, être sans défense, est le plus difficile"
J'ai rencontré à cette occasion des hommes et des femmes très agréables, chaleureux et ouverts. J'ai beaucoup apprécié les moments d'échanges que j'ai pu avoir avec plusieurs d'entre eux. Il y avait vraiment un climat amical dont je garde un excellent souvenir.